Par WANG Jiayue 12 mai 2019
Avec le développement de la société, la structure sociale évolue également constamment. De plus en plus de personnes espèrent bénéficier d’une mobilité sociale ascendante grâce à l’enseignement. De ce fait, les emplois qualifié ont progressé et l’ascension sociale demeurent majoritaire en France. Cependant, selon une étude de l’INSEE, un quart des personnes se sentent socialement déclassées par rapport à leur père. À ce stade, le déclassement est devenu un objet de controverse qui anime le débat public français. J’ai donc choisi d’analyser le déclassement du point de vue de l’éducation et de savoir: Comment Français perçoivent-ils en déclassement et quel est l’impact de l’éducation sur le déclassement?
J’ai discuté en premier lieu la définition et l’évolution de déclassement et j’ai mesuré le mobilité descendante sur trois perspectives: des victimes sociales, méritocratique et l’approche des resources parentales. Deuxième partie, j’ai mesuré le lien entre le déclassement et l’éducation et trouvé quelques solutions en vue d’éviter le déclassement par les façon de la formation. C’est principalement:
- en amont, d’investir de manière précoce dans l’égalité des chances, par un accueil de la petite enfance et une éducation primaire (scolaire et périscolaire) de qualité ;
- de favoriser l’orientation, notamment des jeunes filles, vers des filières d’avenir comme les filières scientifiques et technologiques ;
- de corriger les inégalités d’accès à la formation continue, qui désavantagent les catégories socioprofessionnelles les moins qualifiées et les plus exposées au déclassement professionnel, notamment les seniors.
En conclusion, dans mon mémoire, pour consacrer à la quantification statistique du déclassement, j’ai utilisé les connaissances que nous avons étudiées dans le cours de la culture économique: analyser les graphiques et trouver des idées pouvant soutenir l’argumentation. Grâce à ce sujet, j’ai une compréhension plus réaliste des personnes qui sont dans la situation du déclassement, ce qui me permet de les gérer plus facilement en tant que RH à l’avenir. Et je souhaite travailler chez Schneider Electric à l’avenir, non seulement en tant que technicien, mais également pour tout ce que j’ai appris en gestion
