En tant qu’entrepreneurs quels sont les facteur clés pour innover ?

De quoi parle-t-on lorsque l’on évoque l’innovation et l’entreprenariat ? Bill Gates, Steve Jobs, un grand capital de départ, une série d’innovations technologiques… En tant qu’étudiants universitaires, on rêve toujours de devenir des entrepreneurs prospères avec une idée innovante, mais on est inquiète de ne pas être en mesure de faire face aux difficultés sur le chemin qui demande l’entrepreneuriat. Dans le cours de « Découverte de l’environnement innovant nantais », on a rencontré 8 entrepreneurs qui nous ont partagé leurs expériences et leurs parcours. En effet, avec l’arrivée de la nouvelle récession, une aventure de l’entreprenariat devient un choix pour ceux qui ont des idées innovantes, elle deviendrait une route étant accessible au succès, d’où ma problématique actuelle : en tant qu’entrepreneurs quels sont les facteur clés pour innover ? Comment rend-t-on un projet innovant faisable ?

Tout d’abord, c’est l’intérêt. C’est le point de vue de Pascal Chessé. Pendant sa présentation, il a souligné que l’intérêt a joué un rôle important dans sa vie : il est devenu ingénieur après avoir été diplômé de l’INSA Strasbourg, mais en raison de son vif intérêt pour les affaires, il a étudié en MBA à NEOMA Business School. (En fait, sa réussite professionnelle s’explique également par son intérêt pour les affaires.) Comme l’ancien éducateur chinois Confucius a dit : l’intérêt est le meilleur des enseignants. C’est par intérêt que l’on veut étudier dans ce domaine, ce qui nous permet de maîtriser des connaissances et de générer les inspirations innovantes en base des connaissances. Plus précisément, bien que l’innovation soit par essence source de perturbation, mais s’il n’y avait pas la connaissance systématique en tant que la base, il serait difficile d’être inspiré pour innover. En même temps, l’intérêt nous permet de persister dans ce domaine. Par exemple, Pascal Chessé est capable de continuer à se déplacer dans de nouveaux lieux pour ouvrir des marchés pour son entreprise grâce à son intérêt. Ainsi donc, lors de l’innovation et de l’entreprenariat, on doit choisir le domaine pour lequel l’on est intéressé. Parce que l’intérêt est la source de la motivation.

Et puis, il y a l’intérêt pour la clientèle. Ce point de vue s’inspire de l’expérience de l’entreprise MillaMeet. C’est une application qui fournit aux étudiants et aux lycéens des information sur les universités, les grandes écoles, les stages et les logements. Elle utilise le modèle innovant le plus populaire « Internet + ». (Ce modèle innovant existe aussi en Chine.) Ce type d’innovation appartient l’innovation incrémentale, plus précisément, avant cette application, il existe une plate-forme similaire « Etudiant » qui offre des conseils d’orientation et des informations de l’enseignement supérieur.[1] La différence principale entre les deux entreprises est la manière d’offrir des services en ligne ou face à face. C’est cette innovation que MillaMeet a mise à profit pour lancer avec succès son propre produit surtout dans le contexte du Covid-19. Pendant le confinement, les salons de l’orientation ne se tient pas comme prévu, mais les lycéens ont encore besoin des conseils et des actualités sur l’enseignement supérieur. C’est-à-dire, le digital permette aux clients d’économiser du temps, de l’argent et de l’énergie, même avec le big data, les entreprises peuvent faire du marketing avec de la précision. D’autant plus qu’ils visent les jeunes de la génération Z qui maîtrisent l’utilisation des téléphones portables. D’ailleurs, comme elle a un segment de la clientèle, par rapport à « l’Etudiant » l’application ajoute le service du logement qui permet aux étudiants de chercher facilement le logement surtout leur mobilité de stage ou les autres cas de courte durée. Par conséquent, lors de l’innovation et de l’entreprenariat, il est nécessaire d’identifier clairement le segment de la clientèle, puis d’innover en fonction de leurs besoins et de leurs caractéristiques.

Finalement, c’est la responsabilité sociale. Ce point de vue s’inspire de l’expérience de l’ONG Octop’us et l’entreprise nantaise N’go Shoes. Ils représentent l’innovation sociale. Par exemple L’engagement de l’ONG est porté autour de la protection des écosystèmes aquatiques et se manifeste par des actions de diverses natures. [2] Et N’go Shoes produit des baskets et des sacs à dos écologiques, il se soucie de l’impact écologique de sa production et privilégie l’approvisionnement en matières premières locales, et recyclables. [3] C’est-à-dire, s’il était difficile d‘innover un nouveau produit, on devrait s’inspirer de la responsabilité sociale. Après tout, on n’a qu’une seule planète et la protection de l’environnement et le développement durable sont des sujets auxquels chaque entrepreneur doit tous réfléchir.

En conclusion, comme tout le monde le sait, il n’est pas facile de décider de devenir un entrepreneur. Mais contrairement à mes clichés précédents, l’argent n’est plus le facteur le plus important de l’entreprenariat. Après avoir écouté ces témoignages, si je voulais participer de l’aventure entrepreneuriale, d’après moi, les facteurs de clé comprennent l’intérêt, les besions de la clientèle et la responsabilité sociale.

Source :

[1] le site de l’Etudiant : www.étudiant.fr

[2] l’affiche de publicité de l’ONG, la part de Présentation

[3] le site de N’go Shoes : ngo-shoes.com/fr

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